Économie et statistiques
L'Algérie ne forme pas un marché légal du jeu : il n'y a pas de licences, donc pas de revenu brut du jeu (GGR), de recettes fiscales, d'emplois officiels et de rapports publics sur le secteur.
Le profil économique se résume aux coûts de l'État - surveillance du réseau, blocage, enquête et confiscation - et aux pertes indirectes telles que le départ d'une partie de la demande des consommateurs vers la zone offshore/grise.
L'économie touristique et hôtelière ne reçoit pas de « casino-suppléments », et les statistiques sur les jeux ne sont pas mises en évidence dans les comptes nationaux ou dans les bulletins sectoriels.
Toute évaluation du segment illégal est spéculative et ne peut servir de base à la planification ou à l'investissement.