Économie et statistiques
L'économie djiboutienne repose sur la logistique portuaire, les services de transit et la présence de bases étrangères ; le marché intérieur des consommateurs est faible, les revenus des ménages sont limités.
Dans ce contexte, le secteur du jeu - micronish sans effet fiscal visible : il n'y a pas de casinos hors ligne, les formats de loterie et de promotion sont ponctuels, l'activité en ligne va dans la zone « grise » et n'est pas statistiquement prise en compte.
L'environnement de paiement combine l'argent liquide, les services bancaires de base et les portefeuilles mobiles, mais les paiements croisés et les remboursements par les opérateurs offshore sont difficiles.
La pénétration d'Internet augmente, mais le coût de l'accès et la concentration dans l'agglomération de la capitale freinent l'expansion du divertissement numérique.
Indicateurs clés pour surveiller le potentiel : revenus réels de la population, part des paiements en espèces et des portefeuilles mobiles, coût/disponibilité de l'internet mobile, et toutes les mesures prises par l'État pour formaliser les tarifs en ligne.
Tant qu'il n'y a pas de cadre réglementaire, la contribution de l'industrie au PIB et à l'emploi reste minime.