Économie et statistiques
Le Bangladesh ne tire pas de recettes fiscales de la gemblaie : il n'y a pas de licences, il n'y a donc pas de recettes brutes (GGR), pas de taxes et pas d'emplois profilés.
Les chiffres officiels concernent principalement l'application de la loi - le nombre de raids, les terminaux/appareils saisis, les sites bloqués et les opérations de paiement interrompues.
Le modèle touristique ne prévoit pas de clusters de casinos, de sorte que la contribution du secteur au PIB et aux exportations de services est nulle.
Dans le même temps, la demande va en partie aux services en ligne offshore, ce qui crée une fuite des paiements à l'étranger et des coûts sociaux (dette, fraude, absence de mécanismes de jeu responsable).
Les opérateurs fintech internes et les banques renforcent les filtres KYC/AML, mais le marché gris est maintenu par les crypto-monnaies et les VPN.
Conclusion fondamentale : il n'y a pas d'économie légale du gemblais et les principales « statistiques » sont les mesures de contrôle et de prévention.