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Jeux de hasard à Rome et au Moyen Age

L'Azart en Italie existe autant que sa culture urbaine. Dans la Rome antique, les jeux faisaient partie des loisirs et de la colle sociale, mais le pouvoir essayait déjà de contenir les « têtes chaudes ». Au Moyen Age, le pendule a basculé vers des interdictions sévères sous l'influence de l'éthique de l'église, et les villes-États ont imposé leurs propres statuts et sanctions. Voici un guide des principales pratiques, lois et humeurs des époques.


1) Rome antique : « alea » comme style de passe-temps

Quoi et comment ont joué

Tali (tali) - « métacarpiens » (astragal), lancers avec des faces nommées ;
  • Les tessers (tesserae) sont des cubes habituels, des dés jouables ;
  • Ludus latrunculorum est un jeu de société stratégique (parent des dames) ;
  • Duodecim scripta/Tabula est l'ancêtre du backgammon ;

Les paris sur les spectacles sont des paris informels sur les combats de gladiateurs, les courses de chars dans le cirque.

Où ils jouaient

À la maison et dans les rues, dans les tabernae (auberges) et les magasins. L'archéologie de Pompée, Ostie et Rome montre des planches de table collées dans la pierre.

Le tissu social

Le jeu unissait les classes, des soldats et des libres-maçons à la noblesse (bien que le citoyen « décent » ait dû garder ses distances publiquement).

La Saturnalie festive est une période où beaucoup de choses ont été admises : rôles renversés, cadeaux, jeux « sans regarder le rang ».


2) Droit romain : interdiction par défaut, assouplissement à l'occasion

Logique générale

Les jeux d'argent étaient généralement interdits, mais des exceptions étaient autorisées (par exemple, les jours fériés ou pour les compétitions « sportives »).

Les contrevenants risquaient des amendes et une réputation honteuse ; La perte d'un jeu illégal ne pouvait pas être officiellement récupérée par le tribunal.

Pourquoi interdit

Protection des biens familiaux, discipline du citoyen et moralité publique.

Le contrôle des établissements où l'argent, la foule et l'alcool ont été creusés ensemble sont des foyers potentiels de troubles.

Pratiques

Malgré la lettre de la loi, le jeu était omniprésent. Les empereurs et les magistrats « tournaient périodiquement les écrous », mais la vie quotidienne prenait le dessus, en particulier dans les troupes et les îlots des pauvres de la ville.


3) Passage au Moyen Age : nouveaux sens et vieilles habitudes

Les premières critiques chrétiennes

Les Pères de l'Église ont condamné l'azart comme une perte de temps, une source de discorde et d'avidité.

Le péché n'est pas le jeu lui-même comme technique, mais l'intention (amour) et les conséquences sociales (dettes, violence, ruine de la famille).

Ce qui change

Le rôle des lunettes impériales diminue ; la vie urbaine s'articule autour des paroisses, des marchés, des entreprises artisanales.

Les jeux restent - os, tables, paris dans les tournois et les compétitions locales - mais sont de plus en plus soumis à des interdictions canoniques et urbaines.


4) Moyen Age : Canon et statuts communaux

Ligne de l'église

Clear était strictement interdit de jouer ; pour les laïcs, la condamnation et la repentance.

Les cathédrales et les synodes ont publié des règles contre les lusores (joueurs de dés), en particulier les jours fériés et près des temples.

Statuts urbains de l'Italie (communes)

Florence, Sienne, Bologne, Venise, etc. ont adopté des statuts énumérant les activités « fériées et nuisibles ».

Mesures types :
  • des amendes pour avoir joué dans des lieux publics ;
  • interdiction pour les maisons d'entretenir des tables et des « tanières » ;
  • les limites d'heure et de trimestre ;
  • des sanctions plus sévères pour les étrangers et les mercenaires (groupes à risque de troubles).

Pourquoi pas une « interdiction totale »

Les villes avaient besoin de gestion, pas d'utopie. Certains jeux ont été transférés dans des espaces contrôlés, parfois accordés aux propriétaires de tavernes sous caution et de comptabilité - il est plus pratique de collecter des amendes et d'éviter les bagarres nocturnes.


5) Optique sociale : Qui jouait et ce que cela menaçait

Artisans, apprentis, étudiants - jeux de rue et de taverne après le travail/études.

Les mercenaires (condottieri) sont des jeux d'os dans les camps, un pari pour les combats.

Connaître et acheter - salons à domicile et planches « de chambre » ; la démonstration ouverte de l'azart était considérée comme un mauvais ton, mais les partis fermés prospéraient.

Risques : dettes, conflits familiaux, bagarres de rue, petits vols pour « parier ».


6) Les pratiques de jeu du Moyen Age : pas seulement les os

Jeux de table - « tabula » - type, échecs (populaires dans les milieux intellectuels), variations locales des stratégies de contrôle.

Jeux de dés - paris rapides, règles simples ; sont populaires grâce au seuil bas et au jeu « instantané ».

Les paris festifs et foires sont des compétitions de force, des jeux équestres, des tirs à la cible ; les taux étaient régis par les règles générales des foires.


7) Réponse de l'État et de la société : une « politique de réduction des risques » précoce

Limitation des lieux et du temps, amendes et publicité publique des contrevenants.

Interdiction près des temples, des hôpitaux, des écoles ; la protection des fêtes contre les « pickpockets » et les « chalmans du jeu ».

Les frais caritatifs et les fraternités sont des « oreillers » sociaux pour atténuer les conséquences des pertes dévastatrices (nourriture, nuit, aide à la famille).


8) Du Moyen Age au Nouveau Temps : les premiers formats « réglables »

Dans le XV-XVI, des loteries municipales (pour financer les besoins publics) apparaissent dans les villes italiennes - une prémonition de la future logique « fiscale ».

Venise, 1638 - création du Ridotto (espace de jeu réglementé sous les mascarades) : compromis entre interdiction et contrôle, prototype culturel des casinos européens.

C'est ainsi que se dessine le marché du jeu moderne et réglementé, où l'État fixe des règles, collecte des taxes et protège le consommateur.


9) Mini-glossaire (latin/ital.)

Alea est un jeu de hasard, un jeu de hasard ; d'où « alea iacta est ».

Tali/Tesserae sont des astragales/os cubiques.

Ludus est un jeu/école ; ludus latrunculorum est un « jeu de voleurs » (stratégie).

Tabula est une planche ; jeu antique tardif, ancêtre du backgammon.

Lusor est un joueur ; lusoria est ce qui se rapporte au jeu.

Statuta - Statuts de la ville ; condotta est un contrat de mercenaire (contexte des camps de mercenaires).


10) Ce que cela signifie pour le lecteur moderne

L'histoire des jeux de hasard en Italie est une histoire de la balance : la morale publique ↔ la liberté du loisir, l'interdiction ↔ la gestion des risques.

Dans l'antiquité et le Moyen Age, la société cherchait les outils d'un espace contrôlé plutôt que d'une guerre totale contre l'azart.

C'est cette expérience qui a progressivement conduit à un modèle où les règles, les licences et la transparence sont considérées comme une meilleure protection que le mur sourd des interdictions.


Des « tali » osseux et des stratégies « ludus latrunculorum » à Rome aux statuts des communes et aux interdictions ecclésiastiques au Moyen Age, l'histoire italienne du jeu montre que la culture et le droit vont toujours de pair. Le pouvoir a essayé de limiter les dommages, la société de préserver la fête et les villes de rétablir l'ordre. De ce compromis est née la tradition européenne du jeu réglementé, qui en Italie deviendra la norme dès le Nouveau Temps - et donnera le ton à tout un continent.

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