Économie et statistiques
Le modèle de monopole norvégien forme une économie prévisible de l'industrie : le principal flux de trésorerie est concentré chez deux opérateurs (Norsk Tipping et Norsk Rikstoto), ce qui permet une collecte élevée et des ventes par canal légal.
Les bénéfices après les dépenses de fonctionnement sont affectés au sport, à la culture, aux jeunes et aux programmes caritatifs ; une partie des fonds est consacrée à la prévention de la ludomanie et à la recherche.
Les limites strictes des paris et des pertes, ainsi qu'une gamme de produits limitée, « coupent » les revenus ultra-volatiles, mais réduisent les coûts sociaux. Le marché « gris » est freiné par les blocages de paiement/DNS et les interdictions publicitaires, de sorte que les fuites de la demande sont relativement faibles.
Pour l'État, il s'agit de recettes stables et de contrôle des risques ; pour les opérateurs, les coûts de conformité sont élevés (AML/KYC, jeu responsable), mais les coûts de commercialisation sont faibles en raison de l'absence de concurrence.