Économie et statistiques
Le secteur du jeu de Saint-Marin est compact et construit sur un modèle de concession.
Les principaux flux de trésorerie sont les paiements de concession et de licence, la taxe sur les jeux d'argent et les impôts des entreprises de l'opérateur.
La demande est formée par les visiteurs (principalement d'Italie) et les touristes : grâce à ce casino, les recettes sont complétées par des revenus de NsGaming (hôtels, restaurants, événements).
Les revenus sont modérément volatils et dépendent de la saison touristique ; le segment « gris » est petit grâce à une surveillance stricte.
Les coûts des opérateurs sont considérablement déplacés vers la conformité (KYC/AML, sécurité, reporting), ce qui réduit les marges, mais maintient la durabilité et la confiance.
L'effet sur l'économie est limité en termes absolus, mais avec un multiplicateur tangible de l'emploi et des services.