Économie et statistiques
L'économie du secteur légal israélien repose sur deux piliers, la loterie nationale et les paris sportifs par le biais d'une plate-forme autorisée.
Le GGR se forme principalement dans les produits de loterie (billets de tirage et de tir) et dans les paris sur le football/basket ; les revenus des casinos sont inexistants en raison de l'interdiction.
Les revenus sont alloués au budget et au soutien aux sports/programmes sociaux, tandis que les dépenses des opérateurs augmentent grâce à AML/KYC, à l'antifrod et au blocage des contenus illégaux.
La fermeture du VLT/keno et l'abandon des courses de chevaux ont réduit la gamme de produits, mais ont amélioré le contrôle des risques.
Les canaux de vente sont le commerce de détail et les interfaces en ligne de loterie/paris, où la dynamique principale vient du mobile. La partie « ombre » de la demande (casinos en ligne, sites offshore) et le tourisme de jeux hors du pays réduisent l'assiette fiscale potentielle et nécessitent des coûts d'application constants.
La tendance de base est une loterie stable et une croissance modérée du betting légal dans un cadre réglementaire conservateur.