Économie et statistiques
L'économie omanaise est traditionnellement dépendante du pétrole et du gaz (exportations et recettes fiscales), mais le cap de la réforme déplace l'accent sur la logistique, les zones industrielles et le tourisme dans le cadre de Vision 2040. Les ports et les ZES (Sohar, Dukm, Salala), le pétrole et le gaz, l'exploitation minière, l'énergie et les services se développent.
Rial est lié au dollar des États-Unis, ce qui lisse les fluctuations des taux de change et aide à contenir l'inflation ; la dynamique budgétaire est sensible aux prix du pétrole et aux programmes d'investissement.
Les fonds souverains et les entreprises publiques jouent un rôle clé, le secteur bancaire est stable, les paiements en espèces et le commerce électronique augmentent.
Sur le marché du travail, il y a une grande proportion d'expatriés, parallèlement à l'omanisation de l'emploi et au développement des compétences.
Pour le suivi : PIB total et non pétrolier, production/exportation de pétrole et de gaz, prix du pétrole, excédent budgétaire et dette publique, réserves et solde payant, inflation et taux d'intérêt, PMI du secteur non pétrolier, flux de marchandises et de passagers via les ports/aéroports, investissements dans les ZES, emploi (en pourcentage des citoyens/expatriés), taux de paiement POS/en ligne et le chargement des hôtels - ces métriques montrent la durabilité de la demande intérieure et l'évolution de la diversification.