Lois de base : Loi sur la prévention des jeux (1901) et amendements ultérieurs (Guyana)
Le cadre juridique du jeu au Guyana se forme autour du Gambling Prevention Act (historiquement adopté pendant la période coloniale ; dans les collections modernes date souvent de 1902), visant à supprimer les « maisons de jeux communes » et les loteries publiques. Cette loi a connu un certain nombre de mises à jour et est complétée par une loi distincte sur les loteries publiques (Government Lotteries Act). Au XXIe siècle, les amendements qui ont légalisé les casinos dans les hôtels et créé un régulateur - Gaming Authority.
1) Gambling Prevention Act : structure et logique originelle
L'acte historique criminalise le contenu de la « maison de jeu commune », la participation à la loterie publique et les actions connexes (publicité, financement) et impose des sanctions contre les organisateurs et les joueurs. Dans sa version actuelle (L.R.O. 1/2012), la loi contient toujours des définitions de base, des infractions et des outils de procédure de la police pour réprimer le gembling illégal.
Principales dispositions :- « Common gaming house » est reconnu comme un inconvénient public (nuisance publique) ; des amendes/privations de liberté sont prévues pour l'entretien et la participation.
- Les loteries publiques sont interdites en dehors des régimes spéciaux (exception - loteries d'État en vertu d'une loi distincte).
2) Loi sur les loteries du gouvernement : mode séparé pour les gosloteries
Les loteries publiques sont régies par une loi indépendante qui stipule qu'une partie des revenus est affectée aux fonds publics de développement. Cette loi distingue les loteries du régime général d'interdiction du Gambling Prevention Act et définit les flux financiers et leurs règlements.
3) Amendements de la fin du XXe siècle : mises à jour ponctuelles
À la fin du XXe siècle, le Gambling Prevention Act a été modifié (par exemple, la compilation a été notée [6 de 1997]), modifiant les sanctions et la formulation de certains articles (y compris la participation à la « maison de jeu commune » et à la loterie publique). Ces modifications ont préparé le terrain à une réforme plus sérieuse de 2007.
4) Le tournant de 2007 : Légaliser le casino et créer un régulateur
La principale modernisation a été Gambling Prevention (Amendment) Act 2007 (loi n ° 5/2007). Il :- a introduit les définitions de casino operator's licence et casino premises licence ;
- a retiré les casinos autorisés de la notion de « betting » dans le cadre de la loi d'interdiction de base ;
- en, il a ouvert la route du casino dans le cadre de projets hôteliers sous licence ;
- a fourni une base juridique à la Gaming Authority (régulateur de casino).
5) Règlements de 2008 et limites de licence
Des règlements ont été publiés, y compris les règlements sur les licences/taxes, publiés au Journal officiel en novembre 2008. Ces documents ont mis en œuvre les pouvoirs du régulateur et la procédure de délivrance des licences de casino. Un certain nombre de publications ont également indiqué des limites quantitatives sur les licences (dans les premières versions - discuté par un maximum de trois casinos dans la région), ce qui illustre l'approche prudente de l'État pour élargir le marché.
6) Disposition moderne : « squelette » de l'ancienne loi + exceptions ponctuelles
Aujourd'hui, le tableau est le suivant :- Le « squelette » prohibitif de base du Gambling Prevention Act est conservé, mais les casinos, les loteries et certaines formes de paris sont autorisés en vertu de normes/exceptions et licences spéciales.
- Le régulateur du casino est Gaming Authority of Guyana, agissant dans le cadre de la loi et des règlements mis à jour.
- Le marché en ligne est resté longtemps incertain directement : l'accès aux sites étrangers n'avait pas de réglementation positive claire, ce qui a été régulièrement noté dans les examens locaux. (Ces dernières années, le thème de la nouvelle réforme du jeu a été régulièrement soulevé.)
7) Comment lire la loi « juste » : notes pratiques
1. Regardez la rédaction : utilisez la compilation officielle de Cap. 9:02 (L.R.O. 1/2012) et l'acte n ° 5/2007 lui-même - la formulation et la définition des licences y sont visibles.
2. Séparément, les loteries : les loteries publiques ont leurs propres règles et canaux financiers.
3. Tenir compte des règlements : les pouvoirs de l'organisme de réglementation et les procédures opérationnelles sont précisés dans les règlements de 2008 (et les avis ultérieurs).
4. Suivre les nouvelles initiatives : avec l'afflux de projets hôteliers, les autorités ont discuté de l'élargissement/ajustement des limites et de la modernisation supplémentaire de la loi.
8) Importance pour le marché
Prévisibilité pour les casinos hors ligne : les casinos sous licence dans les hôtels fonctionnent dans un cadre clair, avec un régulateur et des règlements.
Séparation des modes : loteries - selon la Loi sur les loteries gouvernementales ; Casino - sur les amendements de 2007 à la loi sur la prévention des jeux ; « gris » en ligne est l'objet de la future construction.
Protection sociale : l'ancien cadre « prohibitif » + les exceptions ponctuelles permettent de combiner les revenus du tourisme de jeu avec le contrôle des phénomènes négatifs (publicité, accès des mineurs, « maisons de jeux »).
L'évolution juridique de la Guyane est le passage d'une interdiction coloniale stricte (Gambling Prevention Act 1901/1902) à des exceptions réglementées : les loteries d'État et les casinos sous licence dans les hôtels (amendements 2007 + règlements 2008, avec la création de Gaming Authority). Tout en conservant le « squelette » de base de la loi, l'État ouvre ponctuellement les segments légaux et prépare le terrain pour la codification future des règles en ligne.