Gembling en ligne : pas de réglementation, seulement offshore (Venezuela)
Article complet
1) Lois de base - sur l'offline, pas sur Internet
Le cadre moderne de l'industrie au Venezuela est la loi de 1997 sur les casinos/bingos/machines à sous et ses règlements, qui ne décrivent que les activités terrestres : qui et comment obtient l'autorisation, où vous pouvez trouver des salles (dans les zones touristiques), quelles sanctions sont appliquées, etc. Les formats en ligne ne sont pas décrits. La loi nationale sur les loteries (CONALOT), également axée sur les tirages hors ligne et l'administration des taxes, est distincte.
Parallèlement, il existe une loi fiscale sur les jeux et les paris (2007) qui énumère les activités imposables (loteries, casinos, bingos, hypiques, etc.), mais qui n'établit pas un régime indépendant pour les opérateurs en ligne : c'est un acte fiscal, pas une loi sur les licences Internet.
Conclusion : au niveau fédéral, il n'existe pas de « cadre en ligne » spécial comme celui de la Colombie ; les lois de profilage couvrent les terres et les loteries, et l'Internet en dehors d'une licence claire.
2) Ce qui se passe dans la réalité : « vide » + offshore
En l'absence d'un cadre numérique unique, le marché est entré dans la « zone grise » :- les enquêtes vénézuéliennes sur le hippique en ligne (paris sur les courses de chevaux) enregistrent une « réglementation quasi inexistante » et une fiscalité faible/nulle des paris sur Internet par d'autres autorités ; des dizaines de plates-formes fonctionnent sans contrôle transparent, une partie ne révèle pas les propriétaires, et il n'y a pas de contrôle de l'État sur les opérations en ligne ;
- les examens internationaux et les profils attribuent le Venezuela à des marchés en ligne non réglementés/non réglementés, où les joueurs se retirent vers des sites offshore en raison de l'absence d'un régime de permis local.
Au niveau des consommateurs, cela ressemble à ceci : les casinos hors ligne légaux (permis à partir de 2021) existent, mais les casinos en ligne et les grands sports en ligne pour les Vénézuéliens sont principalement des domaines étrangers avec des licences de pays tiers (Curaçao, MGA, etc.) qui ne sont pas autorisés par le Venezuela.
3) Pourquoi cela ne change pas le fait de « l'absence de réglementation »
Parfois, les médias/sites hyde écrivent que les « paris en ligne sont légaux » - généralement en référence à la possibilité de jouer sur des plates-formes offshore ou en s'appuyant sur des règles fiscales générales. Mais le jeu légal ≠ une licence locale : sans loi/règlement sur les « jeux opérés sur Internet », l'État ne tient pas un registre des domaines autorisés, n'impose pas d'exigences unifiées à KYC/AML, un jeu responsable, le stockage des données et la technologie - d'où la qualification de « zone vide/grise ». Les publications vénézuéliennes écrivent explicitement sur le vide juridique en ligne et l'absence de normes de protection pour les joueurs/opérateurs.
4) Exceptions et « îlots »
Le seul segment sportif « officiellement réglé » est l'hippodrome (totalisateur), mais il n'y a pas non plus de modèle numérique transparent : les sites Internet sur le hippique fonctionnent de manière variable, une grande partie - sans vérification claire de l'État.
Depuis 2021, les casinos hors ligne sont relancés par des autorisations (≈30 d'objets), mais cela ne crée pas un mode en ligne : il s'agit d'un réseau terrestre et d'un contrôle technique de l'interconnexion pour les machines de jeu.
5) Conséquences pour les joueurs et les entreprises
Pour les joueurs :- il n'y a pas de vitrine « blanche » d'Etat. ve-domains - il est difficile de distinguer un opérateur légal du phishing ;
- Il n'existe pas de normes de jeu responsable/CUS en droit national pour le jeu en ligne ;
- les différends/blocages de l'opérateur offshore ne sont pas résolus à l'intérieur du Venezuela.
- Les rapports vénézuéliens sur le manque de contrôle en ligne le montrent clairement.
- il n'y a pas de licences locales en ligne (impossible de se positionner officiellement. ve-produit avec un « sceau » fédéral) ;
- les services bancaires/payeurs fonctionnent en mode « frontière » ;
- le marketing/les impôts sont des taches (les règles fiscales générales sont là, mais il n'y a pas de règles « numériques »).
6) Ce qui pourrait changer le tableau
Pour « sortir » le marché de l'offshore, le pays a besoin d'une loi en ligne complète : la définition des « jeux opérés sur Internet », le registre des domaines, le matériel (certification, loging, reporting), KYC/AML, le jeu responsable, le mode paiement/litige et la liste blanche publique. Dans la pratique, ce sont ces éléments dans les juridictions voisines qui augmentent considérablement les égouts dans le segment « blanc » - tandis que leur absence pousse les joueurs vers les sites offshore. C'est ainsi que les examens de l'industrie classent le Venezuela - comme une juridiction en ligne non réglementée où les offshore dominent.
FAQ courte
Les casinos/sportbouk en ligne "selon-venesouel'ski" existent ? Oui, mais en tant que services offshore et/ou en tant que services Internet mal contrôlés (en particulier par hippique). Il n'y a pas de licence nationale en ligne.
Et les casinos hors ligne ? Oui, autorisé par la loi de 1997 et les décisions 2021 +, c'est une licence terrestre.
Les loteries ? Ils sont réglementés séparément par le Ley Nacional de Lotería (CONALOT) - ce n'est pas sur les casinos en ligne.
En octobre 2025, le gembling en ligne au Venezuela n'a pas son propre cadre fédéral : les actes de profil couvrent le segment terrestre et les loteries, et le marché en ligne est de facto mis au large et les modèles locaux « gris » (en particulier dans le hippique). Pour les joueurs, c'est un manque de protection et de transparence, pour les entreprises, c'est l'absence de voie « blanche ». Tant qu'il n'y aura pas de loi/règlement spécial sur les jeux en ligne, il n'y aura pas de droit « légal » en ligne avec une licence locale - seulement offshore.