Comment le RNG et la mécanique des gains sont testés
L'honnêteté de la fente repose sur deux piliers : le RNG de qualité (générateur de nombres aléatoires) et la mécanique correcte des gains, qui, sans déplacement, cartographie les nombres aléatoires en résultats. Les tests ne sont pas un seul test de « chance », mais tout un système : résistance cryptographique RNG, contrôles statistiques, simulation Monte carlo RTP/volatilité, sièges déterministes pour la reproductibilité, audit-logs et certification dans des laboratoires indépendants. Ci-dessous - un convoyeur complet et pratique.
1) Architecture RNG : en quoi consiste le « hasard »
Sources d'entropie : OS (CSPRNG/'/dev/urandom ', CryptGenRandom), TRNG matériel (si disponible), bruits système.
Algorithme : Serveur CSPRNG (par exemple, CTR_DRBG/HMAC_DRBG) ou PRNG (PCG/Xoshiro) de haute qualité avec contrôle de l'indépendance des flux.
Politique des cultures (seed) : seed primaire du CSPRNG, flux séparés par session/jeu/fich, protection contre la réutilisation, stockage sécurisé (HSM/secure-storage).
Le serveur → le client : le résultat est calculé sur le serveur, le client est seulement rendu ; les « préludes » (near-miss/teasers) n'affectent pas le résultat.
Indépendance des spins : pas d'auto-construction à l'équilibre ; l'absence de « strip-tease ».
Question de sécurité : à quel stade le résultat est-il accepté ? Réponse : avant la lecture de l'animation, avec fixation dans un journal immuable.
2) Cartographie RNG → résultat (pas de décalage)
Le balayage correct des nombres aléatoires dans le poids des caractères/cellules est la clé de l'absence de « modulaire » et d'autres décalages.
Échantillons uniformes : Si vous voulez un nombre de la plage '[0, N)', utilisez l'élimination (réjection sampling) plutôt que 'rand () % N' pour exclure bias à '2 ^ k % N ≠ 0'.
Échantillons pondérés : distributions cumulées (CDF) ou algorithme Alias (Vose) pour les échantillons rapides en poids.
Traction multiple : Appel RNG séparé pour chaque tambour/cellule/événement, plutôt que de « jeter » un nombre sur l'ensemble du champ.
Garanties au niveau du code : tests de propriété des invariants (« somme des fréquences ≈ poids », « aucun segment n'est sous-représenté »).
3) Ce que nous vérifions exactement : objectifs et métriques
RTP (Return to Player) - rendement moyen, %- Volatilité/variance - dispersion des résultats
- Hit Rate - fréquence de tout gain
- Bonus Frequency - Taux d'entrée en bonus
- Max Exposition - maximum théorique (x par rapport au pari)
- Stationnarité - pas de dérive des distributions dans le temps/release
4) Tests statistiques RNG (hors ligne batterey)
Utilisez « batterei » sur de longues séquences (10⁸+ bits/valeurs), séparément pour chaque flux RNG :- Moments et corrélations : monobit test (proportion 0/1), autocorrélation (lag k), corrélations série et paire.
- Тесты NIST SP 800-22: frequency, block frequency, runs, longest run, FFT, approximate entropy.
- TestU01/Dieharder : « stress tests » supplémentaires (birthday spacings, matrix rank, random excursions).
- KS/ χ ² par seaux : comparaison de l'uniformité empirique et théorique sur « [0,1) » et sur les gammes cibles.
- Tests de poker (par groupe de bits) et « tests de gap ».
Critères de réception : p-values dans un intervalle acceptable (pas « trop parfait »), absence d'échecs systématiques sur des valeurs de sid fixes, résultats stables sur différentes plates-formes/compilateurs.
5) Statistiques cartographiques (game-specific)
Même le RNG parfait peut être gâché par un mauvais mapping. Nous vérifions exactement la distribution des résultats :- Fréquences des symboles/maillages : χ ² correspondre aux poids (par tambours/grappes/pièces).
- Combinaisons/lignes : intervalles binomiaux pour les combinaisons gagnantes ; comparaison avec les tableaux de référence.
- Bonus-déclencheurs/retriggers : intervalles entre les événements (géométrique/binomiale négative) + tests KS/AD.
- Indépendance des bobines : corrélations croisées entre les positions (à l'exclusion de la « fusion »).
6) Simulation Monte-Carlo RTP/volatilité/fréquences
Les simulations reproductibles sont le noyau QA des mathématiques.
1. Configuration : nous enregistrons la version mathématiques, les sièges, les poids/strinps/tables de paiement.
2. Course : ≥10⁷ - 10⁸ du dos pour la stabilité des queues ; séparément - longues sessions de bonus.
3. Estimations et intervalles :- Score RTP : (\hat {RTP} =\bar {X}), où (X) est le gain en xBet.
- Intervalle de confiance (CLT) : (\hat {RTP }\pm z_{\alpha/2}\cdot s/\sqrt {n}).
- Échantillon requis : (n\approx (z\cdot s/\varepsilon) ^ 2) pour l'erreur (\varepsilon).
- Pour Hit Rate/Bonus Rate, les intervalles sont binomiaux (Wilson).
- 4. Queues : p95/p99/p99. 9 gains par spin et par bonus ; contrôle « max exposure ».
- 5. Stabilité : sensibilité à la ± δ aux variations de poids ("robustness runs').
7) Déterminisme et reproductibilité
Cids déterministes pour QA : le même sid → les mêmes résultats (golden-run).
Résultats identiques sur les plates-formes : version du compilateur/des bibliothèques, chèque endianness, modes FPU.
Save States : Récupération d'un bonus/dos interrompu sans « dépassement » du résultat.
Infrastructure de repli : lancement d'un tiquet « problématique » sur seed + step pour analyse.
8) Titrages et anti-tampon
WORM logs (ou chaîne de hachage Merkley) : enregistrement du résultat et des paramètres d'entrée avant l'animation.
Signatures des feuilles de calcul et des feuilles de calcul : la version des tables de paiement/poids est dans le manifeste signé.
Contrôle de l'intégrité du client : obstruction, vérification des hachages, anti-instrumentation.
Autorité du serveur : seul le serveur décide de l'issue ; le client ne contient pas de contrôles « cachés ».
9) Essais de charge et à long terme
Tests de soak : des centaines de millions de spins avec rotation des sièges ; contrôle des fuites de mémoire/ressources.
Haute concurrence : séances parallèles de flux RNG → absence de course/boucle.
Dégradation du réseau : les requêtes répétées/temporisations ne modifient pas le résultat du dos.
10) Validation des invariants UX (honnêteté de l'interface)
Near-miss : les animations ne changent pas la probabilité ; l'interdiction de « truquer » les arrêts pour le drame.
Vitesse du dos : l'accélération/turbo n'affecte pas le RNG.
Modes de formation/démo : soit honnête, soit marqué et les mathématiques séparées.
11) Post-release monitoring (statcontrol en vente)
Cartes SPC/graphiques de contrôle : RTP sur les fenêtres de temps/casino/géo - dans les couloirs admissibles.
Détection de dérive : La divergence PSI/JS des distributions gain/fréquence.
Alarmes : déviations → blocage du jeu/marché, recalculation des loges, rapport.
12) Certification et documentation
Préparer le paquet pour le laboratoire (GLI/eCOGRA/BMM/iTech, etc.) :- Description RNG : algorithme, sources d'entropie, politique des cultures, indépendance des flux.
- Sources/binaires du module RNG (ou artefacts d'inspection) + journaux de test.
- Math Sheet : tables de paiement, poids, breakdown RTP (base/bonus/jackpot), max exposition.
- Rapports de simulations : volume, métriques, intervalles de confiance.
- Logs/relais : format, signatures, stratégie de rétention.
- Versioning : hachage invariable des artefacts (billd, assets, math).
13) Erreurs fréquentes et comment les éviter
'rand () % N' et décalage modulaire. Utilisez la réparation/alias.
Un RNG pour tout sans flux. Faites des strimes indépendantes, évitez les corrélations cachées.
Cartographie « par de beaux indices ». Vérifiez toujours les fréquences avec les échelles χ les ².
Petites simulations. 10⁶ est un « test de fumée », il faut des 10⁸ pour les queues.
Absence de sièges déterministes. Sans eux, ne pas reproduire les bugs.
Le client décide de l'issue. Serveur uniquement, logs WORM uniquement.
Pas de post-surveillance. La sortie n'est pas la fin, mais le début du contrôle statistique.
14) Formules et mini-fourrure
χ ² d'uniformité (k seaux) :[
\chi^2=\sum_{i=1}^k \frac{(O_i-E_i)^2}{E_i},\quad E_i=n/k
]
Comparer avec (\chi ^ 2 _ {k-1}).
KS pour la distribution continue :[
D=\sup_x F_n(x)-F(x)
]
Intervalle de confiance RTP (CLT) :
[
\hat{\mu}\pm z_{\alpha/2}\frac{s}{\sqrt{n}}
]
Wilson pour la fraction p (taux Hit/Bonus) :
[
\frac{p+\frac{z^2}{2n}\pm z\sqrt{\frac{p(1-p)}{n}+\frac{z^2}{4n^2}}}{1+\frac{z^2}{n}}
]
15) Chèques-feuilles
Technique RNG
- Source CSPRNG/TRNG ; politique documentée seed/stream
- Flux indépendants, pas de courses partagées
- Rappel/alias au lieu de '%'
- Server-authoritative; fix du résultat avant l'animation
- WORM logs, signatures d'artefacts
Statistiques et simulations
- Batterei NIST/TestU01/Dieharder - passé
- χ ²/KS/plaies - sur le mapping des exodes
- ≥10⁷ - 10⁸ du dos ; CI par RTP/fréquences dans les tolérances
- Queues p95/p99/p99. 9 et max exposition sous contrôle
- Robustness-runs à ± δ aux poids
QA/Ingénierie
- Sièges déterministes ; les rebonds des tiquets
- Soak/charge ; stabilité de la mémoire/CPU/latence
- Kp.ru m dos/bonus sans changement de résultat
- Identités croisées des résultats
Conformité/Documents
- Spécification RNG + sources/artefacts
- Math Sheet + rapports de simulations
- Politiques de Logging/Retence/Audit
- Versioning et hachage des factures/tables de paiement
Le test RNG et la mécanique gagnante sont l'ingénierie des statistiques et de la sécurité. Vous protégez les joueurs et la marque lorsque :
1. RNG rack et correctement semé, 2. cartographie des résultats sans biais et reproductible, 3. RTP/fréquences/queues confirmées par de grandes simulations, 4. le résultat est enregistré et vérifié avant l'animation, 5. La surveillance post-release capte n'importe quelle dérive.
C'est ainsi que la fente reste honnête, prévisible (au sens statistique) et résistante à la manipulation - et vous passez la certification et construisez la confiance à long terme.