Intégration avec BI : Dashboards de produits et alerts
Texte intégral de l'article
1) Pourquoi un produit BI dans iGaming
Solutions de données : hiérarchisation du contenu, des places publicitaires, des bonus et des paiements en itinérance.
Contrôle opérationnel : Jeux en direct SLA, caisses, webhooks, JP/tournois.
RG/conformité : feux stop et déclaration « hors boîte ».
Un seul langage de métrique : Du CEO à l'opérateur de table, il n'y a que des définitions.
2) Architecture d'intégration : des événements au panneau
OLTP/événements (Kafka, Webhooks, CDC)
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├─Lakehouse Bronze (raw, append-only)
├─Silver (clean, dedup, SCD2, masking PII)
└─Gold (faits et mesures de mars) ──BI layer semantic (LookML/dbt metrics/modèles semantic)
└─Dashbordy/Alerty/Embedded BIFormats Lakehouse : Delta/Iceberg/Hudi ; les fichiers Parquet, compaction des « petits ».
Layer semantique : définitions de métriques uniques (LookML, dbt Metrics, MetricFlow).
Canaux de mise à jour :- Le temps réel (stream) est un SLA en direct, une caisse, des webhooks, des alertes.
- Microbatches (5-15 min) - paris/settlment, bonus, JP.
- T + 1 - rapports PSP/banques/chargeback.
3) Vitrines standard Gold et dictionnaire de métriques
Tableau des faits (recrutement minimum)
'fact _ bets 'est un pari/settlement (stake, win, RTP, in_bonus, provider).
'fact _ wallet _ entries '- débits/crédits (reason, reference_id, latinity).
'fact _ payments '- dépôts/conclusions/retours (method, PSP, success, cost).
« fact _ bonus _ wager » - émission, progression, combustion.
'fact _ live _ sla '- latency/bugs tables/show.
« fact _ jackpot » - contributions/déclencheurs/paiements.
Mesures
« bou _ player » (pseudo-ID, canaux, géo, statuts RG sans PII), « bou _ game », « bou _ provider », « bou _ psp », « bou _ brand », « bou _ region », « bou _ date ».
Carte KPI (référence)
Monétisation : GGR/NGR, dépôt-conversion, ARPU/ARPDAU, RTP par jeu/fournisseur.
Paiements : taux de succès par PSP/geo, p95 'autorité/capture', cost-per-succès, taux de remboursement/chargeback.
Opérations : webhook-lag, queue/consumer lag, settle lag, error-rate par code.
Jeux en direct : uptime, fps/latency, échecs de table, remplissage.
Commercialisation : cohort retraite/LTV, ROI par campagne, codes promotionnels, coupes canal/géo.
RG/AML : proportion de paris bloqués, coverage de réalité-vérification, actionnements de velocity.
Jackpot/Tournaments: contribution-rate, time-to-drop, prize distribution.
4) Dashboards alimentaires (références)
A. « La santé de la plateforme » (AC/heure)
Carte SLO : p95 autorisations, settle-lag, webhook-lag, error-rate (NTTR/business).
Les dégradations les plus importantes par région/marque/fournisseur/PSP.
Déclencheurs : breach SLO, taille 'IDEMPOTENCY _ MISMATCH', DLQ> 0.
B. « Argent et paiements »
Entonnoir Deposit : intent→auth→3 - DS→capture→credit, conversion selon PSP/géo/méthode.
Valeur de transaction et 'cost _ per _ success'.
Reconciliation KPI: `match/timing/missing/amount_mismatch`.
C. « Contenu et RTP »
GGR/RTP par jeu/fournisseur/scénario, heatmap par appareils/géo/horloge.
Hit rate, session length, phases bonus/surchauffe.
D. « Marketing et bonus »
Cohorts 1/7/30, weiger progress, break-even promo, canaux de trafic.
Expériences A/B (garde métrique et effet).
E. « RG/Conformité »
Auto-exclusion/limites, reality-checks, drapeaux velocity, correspondances sank.
Panneaux réglementaires clés en main avec exportation (PII-safe).
5) Alerts : comment rendre utile (pas le bruit)
Types
SLO-alerts : excès de p95 latency/lag, taux d'erreur, livraison de webhooks.
Alerts d'affaires : débrayage deposit success, sursaut de pannes de 3-DS/AVS, fournisseur/table en dégradation, RTP outlier.
Téléchargements de données/SLA : retard des mises à jour des vitrines, augmentation de la proportion de 'mismatch' sur les rapprochements, violences de watermark.
Réglementation et hygiène
Guardrails : Au moins 2 indicateurs par incident (par exemple, latency + error-rate).
Newsletters : Slack/Teams, e-mail, PagerDuty ; sans « tout le monde ».
Déduction/suppression : regroupement par la racine du problème (PSP/région).
Runbook : référence à la partie Pleybuk/Dashboard, owner et SLO.
Auto-silence : pour les travaux planifiés/cut-off (boîtes).
6) Real-time vs batch : quand quoi
L'antipathie : « tout est réel ». Cher, bruyant, instable. Utilisez le niveau de fraîcheur selon la valeur de la solution.
7) Incorporation de BI dans le produit (Embedded)
Approches : iFrame/URL signed embedding, JS-SDK, visas API.
Contrôle d'accès : row-level security (brand/region/player_scope), JWT-claims, masquage partiel des champs.
Modèles UX : mini-widgets KPI, « drill-through » dans la pièce, boutons « créer un tiquet d'incident ».
Cashing/quotas : result-cache, extraits prédéfinis pour les vitrines lourdes.
8) Sécurité et vie privée
Isolation PII : circuits/réservoirs séparés ; dans BI - pseudo-ID, hashi/tokens.
Résidence : interdiction des lectures transrégionales ; segmentation par marque/région.
RBAC/ABAC : rôles (exec/ops/finance/support/marketing), politiques OPA.
Audit (WORM) : modifications des métriques/dashbords, exportations de données, accès.
Secrets/clés : KMS/Vault, SSO/OIDC + MFA.
9) Qualité et fiabilité des données pour BI
Contrats de données : schémas, champs obligatoires, métriques sémantiques.
Tests DQ : l'unicité des clés, l'intégrité référentielle, les gammes, l'équilibre du portefeuille.
Watermarks : fenêtres de retard et recalculations incrémentielles.
Linéaire/catalogue : qui est le propriétaire, SLA de fraîcheur, dépendances vitrines.
Surveillance des coûts : demandes/scan-octets, vitrines « chaudes » - en DWH, froid - au lac.
10) CI/CD pour dashboards et métriques
Git-as-source : dashboards/explorateurs/métriques dans le référentiel (LookML/dbt/Superset YAML).
Prépromoteur/rhubarbe : sandbox/environnement prévisuel, tests visuels de screen.
Contrôle de compatibilité : tests schema/breaking-changes métriques.
Catalogue des versions : versions, changelog, Deprecation/Sunset pour métriques.
11) SLO/SLI pour BI
Freshness : Vitrines dorées dans les délais (p. ex. p95 ≤ 15 min ; T + 1 rapports ≤ 9h00 de la région).
Disponibilité : Console BI ≥ 99. 9 %, widgets embedded ≥ 99. 95%.
Performance : p95 temps de rendu des panneaux clés ≤ 2-5 s.
Qualité des données : Erreur DQ de classe 'ERROR' = 0 ; 'WARN' ≤ seuil.
Alert Quality : precision/recall alerts (≥ 0. 7/0. 8 comme référence).
12) Chèques-feuilles
Plate-forme/données
- Vitrines d'or pour argent/paiements/contenu/RG/transactions.
- Semantic layer avec une seule métrique GGR/NGR/retraite/PCI-safe.
- Stream pour SLA/caisse ; microbatches pour les paris/bonus ; T + 1 pour PSP.
- Tests DQ, watermarks et reprocess ; linéaire et catalogue avec SLA.
- RBAC/ABAC + PII-isolement et résidence.
- Les panneaux de reconnaissance et les alertes mismatch.
- CI/CD dashboards, criant des changements de métriques.
Produit/opération
- Panneau NOC avec SLO et « un clic dans les détails ».
- Entonnoir de paiement et cost-per-success selon PSP/geo.
- Surveillance en direct-SLA et alertes de dégradation.
- Panneaux de contrôle RG/AML avec exportation de rapports reg.
- Embedded-widgets dans Admin/CRM, cache et quotas.
13) Drapeaux rouges (anti-modèles)
BI frappe l'OLTP directement ; pas de Lakehouse/Gold.
Différentes équipes considèrent que le RGG/RGG est différent ; pas de layer semantic.
Les vitrines sans watermarks et grand-père → des transactions doubles.
Le Real Time est « partout », bien que les solutions T + 1.
Absence d'isolation RBAC/PII ; lectures croisées régionales.
Dashboards à la main, pas de versioning/rhubarbe.
Alerts bruyants sans guardrails, « alert fatigue ».
14) Résultat
L'intégration avec BI n'est pas seulement de beaux graphiques. C'est une chaîne gérable : lakehouse-vitrines et un dictionnaire commun de métriques, un taux de renouvellement raisonnable, une sécurité et une résidence strictes, des alertes qui aident à agir plutôt que d'interférer. En construisant un layer semantic, une surveillance SLO et des dashboards CI/CD, vous transformez les données en un avantage opérationnel : le produit s'accélère, les coûts diminuent, les incidents sont détectés avant les plaintes, et le rapport réglementaire est recueilli sans « Excel manuel ».
