TOP-10 signes de fausses licences
La fausse « licence » est l'astuce préférée des opérateurs gris. Sur le site - les logos des régulateurs, les grandes formulations, le « numéro », qui ne se faufile nulle part. Ci-dessous - 10 marqueurs de contrefaçon principaux, des tests rapides et un algorithme de vérification compréhensible.
1) Le numéro de licence ne figure pas dans le registre
À quoi ressemble : le numéro est indiqué, mais la recherche dans le registre officiel ne donne rien, ou l'entrée appartient à une autre société/type de licence.
Test rapide : percer le numéro et le nom exact de l'opérateur ; le numéro, le droit et le statut du permis doivent coïncider.
2) Le lien de « badge » ne mène pas au régulateur
À quoi ressemble : clic sur le logo - sur la page intérieure de « À propos », image PNG ou lien raccourci.
Test rapide : la licence réelle conduit à la carte dans le registre du régulateur (domaine direct), pas au blog/landing.
3) Non-correspondance des données légales
Qu'est-ce que ça ressemble : dans le sous-sol, il y a un droit, dans Terms, le deuxième, dans la « licence », le troisième ; les adresses et les numéros d'enregistrement ne sont pas battus.
Pourquoi est-ce important : une licence réelle est délivrée à une entreprise spécifique ; tout « mix » est un drapeau rouge.
4) Type de licence incorrect (B2B au lieu de B2C, etc.)
À quoi ressemble : la licence du fournisseur (agrégateur, studio) est affichée et elle est attribuée pour le droit d'accepter les paris des joueurs.
Règle : B2B ne remplace pas B2C. Le partenaire avec la licence ne la partage pas avec le casino.
5) Anciens/redessinés logos des régulateurs
Ce qui ressemble : PNG trouble, couleurs déformées, proportions étirées, version obsolète du faux.
Test rapide : un site honnête a des graphiques vectoriels propres (SVG/DPI élevé), des signatures correctes et des textes alt.
6) « Licence » d'une juridiction où les casinos en ligne ne sont pas autorisés
Ce qui ressemble : déclarez une licence d'une autorité nationale qui ne délivre pas d'autorisations B2C pour les casinos en ligne/paris.
Sens : lien impossible « régulateur ↔ produit » = mythe.
7) Pas d'ADR/ombudsman et procédure de plainte compréhensible
Il n'y a pas de contact indépendant pour le règlement des différends à côté de la « licence ».
Signe de contrefaçon : le point d'entrée de la plainte n'est que le chat de soutien du casino.
8) Formulation « Licensed by »... sans numéro ni paramètres
Ce qui ressemble à : phrase générale sans numéro, date d'émission/renouvellement, catégorie (remote gaming, B2C, etc.).
Règle : cette licence a toujours un identifiant et un type.
9) « certificat PDF » sans rapprochement dans le registre
Ce qui ressemble : beau PDF/scan « certificat » qui ne peut pas être confirmé sur le site du régulateur.
L'astuce : remplacer une carte officielle par une image/un scan est un classique des faux.
10) Non-rafraîchissements dans les localités, les domaines et les références
À quoi ressemble : la licence est « européenne » et le domaine et les contacts sont sur des zones aléatoires ; les références au « registre » passent par les abréviations ; les textes sont traduits à la machine.
Sens : Chez les opérateurs réels, les domaines, les contacts et les textes juridiques sont rapprochés et harmonisés.
Chèque en 5-10 minutes (avant dépôt)
- Le numéro de licence est disponible et se trouve dans le registre avec le nom de l'opérateur.
- Un clic sur le badge mène directement à la carte du régulateur.
- Yurlitso, adresse, type de licence dans la carte correspondent au sous-sol et Terms/Privacy.
- L'ADR/ombudsman et la procédure de plainte sont indiqués.
- Pas de « B2B au lieu de B2C », PDF sans registre, liens raccourcis/masqués.
- Les logos des régulateurs sont corrects, avec alt/title normal, pas « savon ».
7 questions rapides à Sapport (et réponses normales)
1. Numéro et type de licence ? - « No XXXX, B2C/remote gaming, Operator Ltd ».
2. Le lien vers la carte du régulateur ? les données correspondent.
3. ADR/ombudsman ? - appelle le service + délai de réponse.
4. L'adresse et l'adresse sont identiques à la carte de licence.
5. Pour quels produits la licence ? - énumère les vues (slots, live, paris).
6. Date d'émission/renouvellement ? - correspond au registre.
7. Quelle est la juridiction de stockage des fonds (safeguarding/custody) ? - la banque/EMI/castodian et le pays sont nommés.
Évasif, agressif ou « c'est confidentiel » est une excuse pour partir.
Astuces typiques des fraudeurs (et comment répondre)
« La licence de partenaire, donc nous l'avons » → Non. La licence de partenaire (B2B) ne couvre pas le B2C.
« Le régulateur a changé de site, donc la carte n'est pas disponible » → Vérifiez dans le registre à jour ; les régulateurs ont toujours un miroir/archive.
« Scan de licence au lieu du registre » → Inacceptable. Le scan sans registre ne confirme rien.
« Référence du registre via l'abréviation » → Demandez une référence directe au domaine du régulateur.
Si une contrefaçon a été trouvée
1. Ne remplissez pas ou ne téléchargez pas les documents KYC.
2. Rassemblez les proufs : captures d'écran du sous-sol, badges, liens, Terms/Privacy.
3. Signalez à la marque officielle (si c'est un clone) et aux cybercanales de profilage de votre pays.
4. Avertir la banque/le fournisseur lorsque vous essayez de débiter ; activer la surveillance, changer les mots de passe, activer 2FA.
5. Mettez le domaine dans la liste d'arrêt et ne passez pas par e-mails/annonces à partir d'adresses similaires.
Cette licence est un numéro vérifiable + carte dans le registre + jurés correspondants + ADR, pas une belle image dans le sous-sol. Toute combinaison d'un numéro non confirmé, de liens « internes », de PDF sans registre et de non-enregistrement dans la jurisprudence est un signe sûr de faux. La règle est simple : pas de vérification directe - pas de dépôt.
